’Management des services publics en Afrique… ‘’ de Diby Koffi Vers une exploitation scolaire et universitaire
Les enseignants de Yamoussoukro ont plaidé pour l’admission
de l’ouvrage de Charles Diby Koffi dans les programmes scolaires et universitaires de Côte d’Ivoire. L’auditorium du Cafop de Yamoussoukro, le vendredi 09 novembre à l’occasion, a accueilli un beau monde dont le père de l’auteur, M. Diby.
Après la ville d’Abidjan et Paris, Management des services publics en Afrique retour d’expérience : des raisons d’espérer, le livre du ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi continue de faire des vagues. A l’initiative du recteur de l’Université Charles Louis de Montesquieu, le Professeur Urbain Amoa, bras séculaire de la promotion de l’ouvrage, six (6) enseignants de la ville de Yamoussoukro en ont fait une révision minutieuse. Martin Gueu, Koffi K. Lacina, Benjamin Constant Koné, Norbert Kouadio Koffi, Sanogo Kiforo et Traoré Bakary, tous professeurs didactiques de Français au Cafop supérieur de Yamoussoukro, ont apporté leur contribution à l’œuvre, le vendredi 09 novembre dernier à Yamoussoukro. Il ressort de leur travail une requête de taille. Les enseignants désirent que le livre soit admis dans le programme d’enseignement général et professionnel de Côte d’Ivoire. Et ce « à cause du modèle réussi de l’écriture.» Et «Nous voyons tous l’intérêt de procéder à son exploitation à cause de la pertinence de l’auteur. Vu le plan de l’écriture formel, le, livre de Charles Diby Koffi est un bel exemple à introduire dans le circuit d’enseignement. Et même à tous les niveaux de formation dans l’administration publique», ont-ils t’ils relevé au cours de la présentation de leurs travaux. A la suite de leur plaidoyer, le docteur Geu Loa, est revenue sur l’utilité de l’œuvre pour le domaine juridique. Pour elle, l’ouvrage met en exergue le non respect des règles et la méconnaissance des principes constitutionnels. Elle a donc appuyé le plaidoyer des enseignants de Yamoussoukro en vue de l’exploitation de l’œuvre pour une large lisibilité du droit à tous les niveaux. Pour elle, la maxime ‘’nulle n’est sensée ignorer la loi’’ ne doit pas toujours s’appliquer en Côte d’Ivoire, parce qu’en dehors du corps juridique très peu de personne savent quelque chose du droit. Le Professeur Urbain Amoa a quant à lui réédité sa confiance en la nation ivoirienne. «(…) La Côte d’Ivoire est une puissance (…)». Il a annoncé la prochaine traduction de l’œuvre en Anglais. Notons que le livre vient d’être édité par Hachette livre international après les éditions CEDA-NEI de Côte d’Ivoire.
Jocelyne Ballot "in IA"
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Après la ville d’Abidjan et Paris, Management des services publics en Afrique retour d’expérience : des raisons d’espérer, le livre du ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi continue de faire des vagues. A l’initiative du recteur de l’Université Charles Louis de Montesquieu, le Professeur Urbain Amoa, bras séculaire de la promotion de l’ouvrage, six (6) enseignants de la ville de Yamoussoukro en ont fait une révision minutieuse. Martin Gueu, Koffi K. Lacina, Benjamin Constant Koné, Norbert Kouadio Koffi, Sanogo Kiforo et Traoré Bakary, tous professeurs didactiques de Français au Cafop supérieur de Yamoussoukro, ont apporté leur contribution à l’œuvre, le vendredi 09 novembre dernier à Yamoussoukro. Il ressort de leur travail une requête de taille. Les enseignants désirent que le livre soit admis dans le programme d’enseignement général et professionnel de Côte d’Ivoire. Et ce « à cause du modèle réussi de l’écriture.» Et «Nous voyons tous l’intérêt de procéder à son exploitation à cause de la pertinence de l’auteur. Vu le plan de l’écriture formel, le, livre de Charles Diby Koffi est un bel exemple à introduire dans le circuit d’enseignement. Et même à tous les niveaux de formation dans l’administration publique», ont-ils t’ils relevé au cours de la présentation de leurs travaux. A la suite de leur plaidoyer, le docteur Geu Loa, est revenue sur l’utilité de l’œuvre pour le domaine juridique. Pour elle, l’ouvrage met en exergue le non respect des règles et la méconnaissance des principes constitutionnels. Elle a donc appuyé le plaidoyer des enseignants de Yamoussoukro en vue de l’exploitation de l’œuvre pour une large lisibilité du droit à tous les niveaux. Pour elle, la maxime ‘’nulle n’est sensée ignorer la loi’’ ne doit pas toujours s’appliquer en Côte d’Ivoire, parce qu’en dehors du corps juridique très peu de personne savent quelque chose du droit. Le Professeur Urbain Amoa a quant à lui réédité sa confiance en la nation ivoirienne. «(…) La Côte d’Ivoire est une puissance (…)». Il a annoncé la prochaine traduction de l’œuvre en Anglais. Notons que le livre vient d’être édité par Hachette livre international après les éditions CEDA-NEI de Côte d’Ivoire.
Jocelyne Ballot "in IA"